Ferrero affirme exercer une « tolérance zéro » à l’égard du travail des enfants. Pourtant, d’après les associations des droits de l’homme, 30 % de leurs noisettes sont issues de fermes turques où sont exploités des mineurs pour des salaires de misère.
Dans une déclaration au « Guardian », le mastodonte de la noisette reconnaît le problème du travail des enfants dans le secteur agricole turc et se dit « déterminé à prévenir et à éliminer le travail des enfants tout au long de nos chaînes d’approvisionnement ».
L’entreprise italienne ne possède ni ne gère de fermes de noisettes en Europe. La Turquie exerce un quasi-monopole sur cette production : elle produit 70 % des noisettes de la planète. Et Ferrero consomme un tiers des noisettes mondiales… « La complexité de la chaîne d’approvisionnement des noisettes est telle qu’elles ne peuvent être transformées par un seul acteur, déclare un porte-parole. La coopération [avec ces acteurs] est absolument essentielle pour s’attaquer au problème du travail des enfants. »

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Dans une déclaration au « Guardian », le mastodonte de la noisette reconnaît le problème du travail des enfants dans le secteur agricole turc et se dit « déterminé à prévenir et à éliminer le travail des enfants tout au long de nos chaînes d’approvisionnement ».
L’entreprise italienne ne possède ni ne gère de fermes de noisettes en Europe. La Turquie exerce un quasi-monopole sur cette production : elle produit 70 % des noisettes de la planète. Et Ferrero consomme un tiers des noisettes mondiales… « La complexité de la chaîne d’approvisionnement des noisettes est telle qu’elles ne peuvent être transformées par un seul acteur, déclare un porte-parole. La coopération [avec ces acteurs] est absolument essentielle pour s’attaquer au problème du travail des enfants. »

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