Trop mièvre la Saint Valentin ? Trop commerciale la fête des amoureux ? Voici pour tous les opposants au 14 février une petite leçon d’histoire : dans le passé, la Saint Valentin pouvait être un vrai supplice…
Mieux vaut une fête mièvre et commerciale qu’une tradition brutale, centrée sur la pratique du viol collectif. Si cette évidence peut faire sourire les plus grands contempteur de la Saint Valentin, elle n’en est pas pour autant infondée. Car il fut un temps – médiéval – où les fêtes de février étaient synonymes de déchaînement de haine et de violence envers les femmes. Dans l’ouvrage « Saint-Valentin, mon amour ! », paru en janvier 2017 aux éditions Les Liens qui libèrent, l’historien et sociologue Jean-Claude Kaufmann raconte la Saint-Valentin des temps anciens. Une époque où des célébrations, bien ancrées dans la société, étaient organisées chaque année pour brimer, violenter voire violer les femmes.

L'article
Mieux vaut une fête mièvre et commerciale qu’une tradition brutale, centrée sur la pratique du viol collectif. Si cette évidence peut faire sourire les plus grands contempteur de la Saint Valentin, elle n’en est pas pour autant infondée. Car il fut un temps – médiéval – où les fêtes de février étaient synonymes de déchaînement de haine et de violence envers les femmes. Dans l’ouvrage « Saint-Valentin, mon amour ! », paru en janvier 2017 aux éditions Les Liens qui libèrent, l’historien et sociologue Jean-Claude Kaufmann raconte la Saint-Valentin des temps anciens. Une époque où des célébrations, bien ancrées dans la société, étaient organisées chaque année pour brimer, violenter voire violer les femmes.

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