Le 22 février dernier, un décret liberticide a été mis en place en toute discrétion, permettant à l'Etat de récolter et d'utiliser nos données personnelles concernant notamment nos orientations politiques, nos religions ou encore nos orientations sexuelles.
Une fois de plus, le gouvernement d’Édouard Philippe se démène afin de réduire les libertés. Les derniers droits démocratiques formels restent des remparts, certes fragiles, nous permettant de conserver des espaces de liberté et des moyens de s’organiser. Cependant le 22 février, un décret liberticide est passé presque inaperçu. Depuis cette date, l’État peut récolter et utiliser vos données personnelles concernant notamment vos orientations politiques, votre religion ou encore vos orientations sexuelles.
Les gouvernements s’enchaînent, et avec eux les politiques liberticides se multiplient. Prétextant régulièrement la lutte contre un ennemi intérieur ou extérieur, de nouveaux outils juridiques apparaissent afin de faciliter le fichage et la répression de la population.

L'article
Une fois de plus, le gouvernement d’Édouard Philippe se démène afin de réduire les libertés. Les derniers droits démocratiques formels restent des remparts, certes fragiles, nous permettant de conserver des espaces de liberté et des moyens de s’organiser. Cependant le 22 février, un décret liberticide est passé presque inaperçu. Depuis cette date, l’État peut récolter et utiliser vos données personnelles concernant notamment vos orientations politiques, votre religion ou encore vos orientations sexuelles.
Les gouvernements s’enchaînent, et avec eux les politiques liberticides se multiplient. Prétextant régulièrement la lutte contre un ennemi intérieur ou extérieur, de nouveaux outils juridiques apparaissent afin de faciliter le fichage et la répression de la population.

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