Arielle Desabysses est une survivante. À 14 ans, en rébellion contre l’autorité paternelle, elle fugue de la résidence familiale de Terrebonne sans savoir ce qui l’attend au détour. Hélas, elle a payé cher le prix de sa liberté.
Violée à répétition, battue, droguée, elle est vite devenue une proie facile pour les prédateurs. Un cauchemar qui l’entraînera jusque dans un réseau de trafic humain: «Si je n’avais pas pu me sauver, je me serais retrouvée dans la cave sombre d’un homme immoral et violent, enchaînée, obligée d’assouvir ses pulsions sexuelles les plus déviantes. Peut-être même dans un bordel, enfermée dans une chambre puante, droguée, et à la merci de clients pervers», déclare la jeune femme aujourd’hui âgée de 26 ans.
Elle relate en détail sa descente aux enfers dans le livre 14 ans et portée disparue, publié aux Éditions de Montagne. Un récit qui donne froid dans le dos et qui prouve hors de tout doute que les réseaux de trafic humain et l’esclavage sexuel des jeunes existent bel et bien au Québec.
L'article
Violée à répétition, battue, droguée, elle est vite devenue une proie facile pour les prédateurs. Un cauchemar qui l’entraînera jusque dans un réseau de trafic humain: «Si je n’avais pas pu me sauver, je me serais retrouvée dans la cave sombre d’un homme immoral et violent, enchaînée, obligée d’assouvir ses pulsions sexuelles les plus déviantes. Peut-être même dans un bordel, enfermée dans une chambre puante, droguée, et à la merci de clients pervers», déclare la jeune femme aujourd’hui âgée de 26 ans.
Elle relate en détail sa descente aux enfers dans le livre 14 ans et portée disparue, publié aux Éditions de Montagne. Un récit qui donne froid dans le dos et qui prouve hors de tout doute que les réseaux de trafic humain et l’esclavage sexuel des jeunes existent bel et bien au Québec.
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