L’heure est grave. Cette alerte vous est lancée au nom du collectif-Édition Libérez Assange Éthiques & Medias, ainsi que de plusieurs initiateurs du collectif citoyen WikiJustice qui compte plus de 300 signataires de tous milieux, y compris des avocats et un juge belge reconnu.
En cette heure où la censure des comptes Facebook et twitter prolifère (celui de Unity4J par exemple, comme Roger Waters des Pink Floyd en a témoigné), nous scrutons de pied ferme vos publications à venir.
Nous informons en outre les citoyens ici adressés que le collectif WikiJustice s’est créé sur la base d’un texte qui devrait faire pâlir de honte la quasi-totalité des responsables journalistes français qui laissent se faire ou organisent la cabale politico-médiatique. Traité sur le plan légal, ce texte est complémentaire de notre édition centrée sur l’éthique et les medias. Nous vous invitons à lire le texte de Wikijustice, à devenir signataires en envoyant par mail vos noms et qualités, à l’adresse wikijusticejulianassange@gmail.com. Cette signature est publique et engage ses signataires. Le texte inaugural se trouve par exemple ici (le choix du site est inopiné ; pour sûr, il craint moins la censure hors Facebook où WikiJustice publie).
L'article
En cette heure où la censure des comptes Facebook et twitter prolifère (celui de Unity4J par exemple, comme Roger Waters des Pink Floyd en a témoigné), nous scrutons de pied ferme vos publications à venir.
Nous informons en outre les citoyens ici adressés que le collectif WikiJustice s’est créé sur la base d’un texte qui devrait faire pâlir de honte la quasi-totalité des responsables journalistes français qui laissent se faire ou organisent la cabale politico-médiatique. Traité sur le plan légal, ce texte est complémentaire de notre édition centrée sur l’éthique et les medias. Nous vous invitons à lire le texte de Wikijustice, à devenir signataires en envoyant par mail vos noms et qualités, à l’adresse wikijusticejulianassange@gmail.com. Cette signature est publique et engage ses signataires. Le texte inaugural se trouve par exemple ici (le choix du site est inopiné ; pour sûr, il craint moins la censure hors Facebook où WikiJustice publie).
L'article