La filière évoque 335.000 emplois menacés immédiatement et des centaines de fermetures d’entreprises. Elle en appelle aux pouvoirs publics.
Un cataclysme. Une catastrophe sans précédent. Depuis mercredi, la filière de l’événementiel en France tente de faire entendre sa voix dans le déluge de mauvaises nouvelles qui s’abattent sur tous les secteurs de l’économie en raison de la propagation du coronavirus dans le pays. Les événements récréatifs, sportifs et culturels - comme les concerts, marathons ou spectacles -, tout comme les foires, salons et autres congrès récurrents (Salon Livre Paris, MipTV, Salon mondial du tourisme...) ont été annulés ou reportés. En phase 2 de l’épidémie de coronavirus, et à ce stade par simple mesure de prévention, tous les rassemblements de plus de 5000 personnes en milieu clos et même certains en extérieur ont en effet été interdits jusqu’à nouvel ordre. Il n’y a pas le choix. Mais dans tous ces cas, des conditions d’assurance pourraient jouer. Et si le gouvernement décrétait le cas de force majeur, les organisateurs de ces grands événements pourraient, selon les conditions générales de vente, être dispensés de rembourser les participants, particuliers ou professionnels, à partir du moment où ils ont souscrit une assurance annulation.
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Un cataclysme. Une catastrophe sans précédent. Depuis mercredi, la filière de l’événementiel en France tente de faire entendre sa voix dans le déluge de mauvaises nouvelles qui s’abattent sur tous les secteurs de l’économie en raison de la propagation du coronavirus dans le pays. Les événements récréatifs, sportifs et culturels - comme les concerts, marathons ou spectacles -, tout comme les foires, salons et autres congrès récurrents (Salon Livre Paris, MipTV, Salon mondial du tourisme...) ont été annulés ou reportés. En phase 2 de l’épidémie de coronavirus, et à ce stade par simple mesure de prévention, tous les rassemblements de plus de 5000 personnes en milieu clos et même certains en extérieur ont en effet été interdits jusqu’à nouvel ordre. Il n’y a pas le choix. Mais dans tous ces cas, des conditions d’assurance pourraient jouer. Et si le gouvernement décrétait le cas de force majeur, les organisateurs de ces grands événements pourraient, selon les conditions générales de vente, être dispensés de rembourser les participants, particuliers ou professionnels, à partir du moment où ils ont souscrit une assurance annulation.
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