La société de vélos en libre-service a annoncé samedi soir qu'elle mettait fin à son service dans la capitale et en France, en raison de trop nombreux vols et dégradations.
Gobee.bike tire sa révérence. En proie aux vols et aux dégradations, la société de vélos en libre-service - qui avait déployé 2.000 vélos dans Paris - quitte l'Hexagone. «Malheureusement, notre bonne volonté et nos efforts n'auront pas suffi. Depuis la mi-décembre, c'est un effet domino de dégradations qui s'est abattu sur notre flotte de vélos partout où notre service existait en France», déplore dans un communiqué cette société dont le siège est à Hong-Kong. Le 9 janvier, Gobee.bike avait déjà mis un terme à son activité dans trois villes européennes - à Lille, Reims et Bruxelles - pour les mêmes raisons.
Ces bicyclettes couleur vert pomme étaient disséminées en ville, géolocalisables via une application pour smartphone et se louaient en scannant un code-barre qui déverrouillait l'antivol, moyennant 50 centimes la demi-heure. L'usager déposait ensuite le vélo où il le souhaitait, sans l'attacher. Après un lancement à Lille le 5 octobre 2017, le service avait débarqué à Paris le 9 octobre dernier.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/02/25/20002-20180225ARTFIG00048--cause-du-vandalisme-les-velos-gobeebike-quittent-la-france.php
Gobee.bike tire sa révérence. En proie aux vols et aux dégradations, la société de vélos en libre-service - qui avait déployé 2.000 vélos dans Paris - quitte l'Hexagone. «Malheureusement, notre bonne volonté et nos efforts n'auront pas suffi. Depuis la mi-décembre, c'est un effet domino de dégradations qui s'est abattu sur notre flotte de vélos partout où notre service existait en France», déplore dans un communiqué cette société dont le siège est à Hong-Kong. Le 9 janvier, Gobee.bike avait déjà mis un terme à son activité dans trois villes européennes - à Lille, Reims et Bruxelles - pour les mêmes raisons.
Ces bicyclettes couleur vert pomme étaient disséminées en ville, géolocalisables via une application pour smartphone et se louaient en scannant un code-barre qui déverrouillait l'antivol, moyennant 50 centimes la demi-heure. L'usager déposait ensuite le vélo où il le souhaitait, sans l'attacher. Après un lancement à Lille le 5 octobre 2017, le service avait débarqué à Paris le 9 octobre dernier.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/02/25/20002-20180225ARTFIG00048--cause-du-vandalisme-les-velos-gobeebike-quittent-la-france.php