Alors que le Royaume-Uni, principal marché d’art international, s’apprête à quitter l’Union européenne, l’humeur est au beau fixe dans le monde artistique français, assure le Financial Times.
Pour l’instant, les chiffres ne sont pas convaincants, reconnaît le Financial Times. En 2017, le Royaume-Uni a concentré 20 % des ventes du marché mondial de l’art, contre 7 % pour la France, sur la deuxième marche du podium. Et pourtant, une question est plus que jamais d’actualité dans le monde de l’art, selon le quotidien britannique : “Paris serait-elle en train de remplacer Londres en tant que cœur du marché de l’art européen ?”
D’après le FT, “le Brexit et ses incertitudes, additionnés à un président féru de culture à la tête de la France, sont autant d’éléments qui font que les acteurs du marché considèrent de plus en plus cette possibilité, auparavant considérée comme complètement farfelue”.
Le tournant de Christie’s
Pour le quotidien économique, un événement signe ce retour en grâce de la capitale française sur le marché de l’art : la présentation avant leur vente, organisée par Christie’s, de tableaux ayant appartenu à Barney A. Ebsworth. “Pour la première fois, Christie’s commence par exposer une collection valant plus de 300 millions de dollars non pas à New York, Londres ou Hong Kong comme habituellement, mais à Paris”, souligne le journal britannique.
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Pour l’instant, les chiffres ne sont pas convaincants, reconnaît le Financial Times. En 2017, le Royaume-Uni a concentré 20 % des ventes du marché mondial de l’art, contre 7 % pour la France, sur la deuxième marche du podium. Et pourtant, une question est plus que jamais d’actualité dans le monde de l’art, selon le quotidien britannique : “Paris serait-elle en train de remplacer Londres en tant que cœur du marché de l’art européen ?”
D’après le FT, “le Brexit et ses incertitudes, additionnés à un président féru de culture à la tête de la France, sont autant d’éléments qui font que les acteurs du marché considèrent de plus en plus cette possibilité, auparavant considérée comme complètement farfelue”.
Le tournant de Christie’s
Pour le quotidien économique, un événement signe ce retour en grâce de la capitale française sur le marché de l’art : la présentation avant leur vente, organisée par Christie’s, de tableaux ayant appartenu à Barney A. Ebsworth. “Pour la première fois, Christie’s commence par exposer une collection valant plus de 300 millions de dollars non pas à New York, Londres ou Hong Kong comme habituellement, mais à Paris”, souligne le journal britannique.
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