Vingt-cinq ans après le massacre de 800 000 Rwandais, Iannis Roder, directeur de l’Observatoire de l’éducation de la Fondation Jean-Jaurès, estime que ce génocide doit être l’occasion de réfléchir au basculement d’une société tout entière dans l’anomie.
Le génocide des Tutsi nous fait entrevoir que la violence génocidaire n’est pas uniquement un fait d’histoire, c’est un fait contemporain, un fait du présent et de la modernité qui doivent être interrogés, tout comme doit être questionnée la passivité du monde.
L'article
Le génocide des Tutsi nous fait entrevoir que la violence génocidaire n’est pas uniquement un fait d’histoire, c’est un fait contemporain, un fait du présent et de la modernité qui doivent être interrogés, tout comme doit être questionnée la passivité du monde.
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