Cet herbicide pourrait entraîner des modifications génétiques, selon une étude sur des rats publiée dans « Scientific Reports ».
Une grande partie de ce que nous mangeons pourrait affecter directement nos petits-enfants. C’est, en tout cas, ce que suggèrent les résultats d’un rapport publié fin avril dans la revue américaine Scientific Reports. Cette étude, menée par le biologiste américain Michael Skinner, démontre qu’une exposition au glyphosate pourrait entraîner des modifications génétiques persistantes sur plusieurs générations.
« Cette étude est importante, explique John McCarrey, chercheur en génétique à l’Université du Texas, sans lien avec cette publication. Car elle prouve que, une fois un individu exposé à certains produits chimiques perturbateurs tels que celui testé dans cette étude, les défauts qui en résultent peuvent être transmis aux enfants ou petits-enfants, même en l’absence de toute exposition ultérieure. Cela montre que les gens doivent faire plus attention aux produits chimiques auxquels ils sont exposés qu’on ne le pensait auparavant. »
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Une grande partie de ce que nous mangeons pourrait affecter directement nos petits-enfants. C’est, en tout cas, ce que suggèrent les résultats d’un rapport publié fin avril dans la revue américaine Scientific Reports. Cette étude, menée par le biologiste américain Michael Skinner, démontre qu’une exposition au glyphosate pourrait entraîner des modifications génétiques persistantes sur plusieurs générations.
« Cette étude est importante, explique John McCarrey, chercheur en génétique à l’Université du Texas, sans lien avec cette publication. Car elle prouve que, une fois un individu exposé à certains produits chimiques perturbateurs tels que celui testé dans cette étude, les défauts qui en résultent peuvent être transmis aux enfants ou petits-enfants, même en l’absence de toute exposition ultérieure. Cela montre que les gens doivent faire plus attention aux produits chimiques auxquels ils sont exposés qu’on ne le pensait auparavant. »
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