Début de semaine, le Guardian révélait les conditions intolérables dans lesquelles les femmes sont exploitées au sein des entreprises produisant les fraises venues d’Espagne. Un produit qui se retrouve par la suite dans tous nos supermarchés.
Alors que son coût est au plus bas et qu’elle se retrouve dans toutes les grandes surfaces d’Europe, la fraise espagnole, qu’on surnomme « l’or rouge » dans la péninsule ibérique, vous sera sûrement moins goûtue à la lumière des révélations faites par le Guardian dimanche dernier. Son marché colossal, avec 400 000 tonnes de fraises exportées chaque année et 580 millions d’euros rapportés au pays, représente un enjeu de taille au royaume. Mais le prix à payer par les femmes marocaines qui travaillent dans les cultures est des plus douloureux : exploitées, sexuellement agressées, privées de nourriture et d’eau et victimes de racisme, elles vivent dans des conditions tout bonnement inhumaines.
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Alors que son coût est au plus bas et qu’elle se retrouve dans toutes les grandes surfaces d’Europe, la fraise espagnole, qu’on surnomme « l’or rouge » dans la péninsule ibérique, vous sera sûrement moins goûtue à la lumière des révélations faites par le Guardian dimanche dernier. Son marché colossal, avec 400 000 tonnes de fraises exportées chaque année et 580 millions d’euros rapportés au pays, représente un enjeu de taille au royaume. Mais le prix à payer par les femmes marocaines qui travaillent dans les cultures est des plus douloureux : exploitées, sexuellement agressées, privées de nourriture et d’eau et victimes de racisme, elles vivent dans des conditions tout bonnement inhumaines.
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