Une fillette de sept ans est laissée avec des brûlures chimiques intenses et des cicatrices après avoir reçu un tatouage au henné noir pendant ses vacances en Égypte.
Elle s'est rapidement plainte de
démangeaisons, qui ont ensuite éclaté sous forme de cloques douloureuses et ont dû se faire couper les cloques dans une unité de traitement des brûlures, ce qui lui a laissé des cicatrices sur le bras.
ces tatouages «au henné noir» peuvent contenir de fortes concentrations de colorant chimique toxique, dont l'utilisation est normalement interdite sur la peau.
La pâte contient un ingrédient appelé paraphénylènediamine (PPD).
L'ajout de PPD, un produit chimique oxydant, dans les colorants au henné et le potentiel de ce produit chimique allergénique à provoquer des réactions d'hypersensibilité constituent un problème de santé publique.
En conséquence, des centaines de cas vont de l’eczéma léger aux réactions bulleuses en passant par les cicatrices et l’hypopigmentation permanente.
En outre, ces tatouages temporaires peuvent provoquer une sensibilisation importante et permanente, susceptible de conduire à une réactivité future avec les teintures capillaires permanentes, les produits chimiques pour caoutchouc, les encres, les teintures pour vêtements et certains médicaments antidiabétiques et hypotenseurs (sulfamides et hydrochlorothiazides).
Cette maladie de la peau, appelée éruption lichénoïde, se caractérise par des lésions et une infiltration entre l'épiderme et le derme et peut entraîner des pustules et même des cloques dans certains cas.
La réaction allergique de contact apparaît généralement 7 à 14 jours après la première exposition. Il peut commencer par un eczémateux rouge (peau rugueuse et enflammée) qui se développe dans le motif du tatouage temporaire.
En fonction de la gravité, l’allergie ou l’infection peut également se généraliser, s’étendant bien au-delà du motif de tatouage initial.
Elle s'est rapidement plainte de
démangeaisons, qui ont ensuite éclaté sous forme de cloques douloureuses et ont dû se faire couper les cloques dans une unité de traitement des brûlures, ce qui lui a laissé des cicatrices sur le bras.
ces tatouages «au henné noir» peuvent contenir de fortes concentrations de colorant chimique toxique, dont l'utilisation est normalement interdite sur la peau.
La pâte contient un ingrédient appelé paraphénylènediamine (PPD).
L'ajout de PPD, un produit chimique oxydant, dans les colorants au henné et le potentiel de ce produit chimique allergénique à provoquer des réactions d'hypersensibilité constituent un problème de santé publique.
En conséquence, des centaines de cas vont de l’eczéma léger aux réactions bulleuses en passant par les cicatrices et l’hypopigmentation permanente.
En outre, ces tatouages temporaires peuvent provoquer une sensibilisation importante et permanente, susceptible de conduire à une réactivité future avec les teintures capillaires permanentes, les produits chimiques pour caoutchouc, les encres, les teintures pour vêtements et certains médicaments antidiabétiques et hypotenseurs (sulfamides et hydrochlorothiazides).
Cette maladie de la peau, appelée éruption lichénoïde, se caractérise par des lésions et une infiltration entre l'épiderme et le derme et peut entraîner des pustules et même des cloques dans certains cas.
La réaction allergique de contact apparaît généralement 7 à 14 jours après la première exposition. Il peut commencer par un eczémateux rouge (peau rugueuse et enflammée) qui se développe dans le motif du tatouage temporaire.
En fonction de la gravité, l’allergie ou l’infection peut également se généraliser, s’étendant bien au-delà du motif de tatouage initial.
