L'identification biométrique se démocratise, que ce soit sur nos passeports ou simplement pour déverrouiller nos smartphones, par empreinte digitale ou par reconnaissance faciale. La Chine, particulièrement friande de cette technologie, testait même il y a peu le paiement du ticket de métro par reconnaissance faciale ! Mais un autre moyen d'identification pourrait faire son apparition : les battements de votre cœur.
L'identification biométrique se démocratise, que ce soit sur nos passeports ou simplement pour déverrouiller nos smartphones, par empreinte digitale ou par reconnaissance faciale. La Chine, particulièrement friande de cette technologie, testait même il y a peu le paiement du ticket de métro par reconnaissance faciale ! Mais un autre moyen d'identification pourrait faire son apparition : les battements de votre cœur.
Selon le MIT Technology Review, le Pentagone aurait développé un laser capable d'identifier les gens d'après les battements de leur cœur. Cette technologie, baptisée Jetson, utiliserait la vibrométrie à l'aide d'un laser pour identifier les mouvements générés par les battements du cœur à la surface de la peau, et ce même à 200 mètres de distance, voire plus ! « Je ne dis pas qu'on pourrait le faire depuis l'espace », précise Stewart Remaly, du bureau technique anti-terroriste du Pentagone, « mais de plus grandes distances devraient être possibles ».
L'article
L'identification biométrique se démocratise, que ce soit sur nos passeports ou simplement pour déverrouiller nos smartphones, par empreinte digitale ou par reconnaissance faciale. La Chine, particulièrement friande de cette technologie, testait même il y a peu le paiement du ticket de métro par reconnaissance faciale ! Mais un autre moyen d'identification pourrait faire son apparition : les battements de votre cœur.
Selon le MIT Technology Review, le Pentagone aurait développé un laser capable d'identifier les gens d'après les battements de leur cœur. Cette technologie, baptisée Jetson, utiliserait la vibrométrie à l'aide d'un laser pour identifier les mouvements générés par les battements du cœur à la surface de la peau, et ce même à 200 mètres de distance, voire plus ! « Je ne dis pas qu'on pourrait le faire depuis l'espace », précise Stewart Remaly, du bureau technique anti-terroriste du Pentagone, « mais de plus grandes distances devraient être possibles ».
L'article