« Aucune des personnes repêchées n’avait déclaré avoir été poussée par l’action de la police à se jeter à l’eau », affirme la synthèse rendue publique mardi, sans que soit pour autant publié un seul de ces témoignages.
Le rapport de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), dont une synthèse de dix pages a été rendue publique mardi à la demande du premier ministre, Edouard Philippe, n’apporte ni explication définitive ni réelle nouveauté par rapport aux révélations de la presse depuis cinq semaines. Il tend en définitive davantage à exonérer les fonctionnaires de toute responsabilité. « Aucun élément ne permet d’établir un lien direct entre l’intervention des forces de l’ordre et la disparition de M. Steve Maia Caniço vers 4 heures le même jour dans le même secteur », concluent les enquêteurs dans ce document daté du 16 juillet, deux semaines avant la découverte du corps du jeune homme.
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Le rapport de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), dont une synthèse de dix pages a été rendue publique mardi à la demande du premier ministre, Edouard Philippe, n’apporte ni explication définitive ni réelle nouveauté par rapport aux révélations de la presse depuis cinq semaines. Il tend en définitive davantage à exonérer les fonctionnaires de toute responsabilité. « Aucun élément ne permet d’établir un lien direct entre l’intervention des forces de l’ordre et la disparition de M. Steve Maia Caniço vers 4 heures le même jour dans le même secteur », concluent les enquêteurs dans ce document daté du 16 juillet, deux semaines avant la découverte du corps du jeune homme.
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