Quelques jours après sa sortie, le dernier Tarantino déclenche une réévaluation majeure du cinéaste, entre désamours et théories cinéphiles.
Que se dit Quentin Tarantino ces dernières semaines lorsque, une fois seul, et ruminant bien humainement, il se pose la question la plus universelle qui soit : est-il aimé ? C’est qu’elle n’a jamais été aussi épineuse depuis la sortie, le 26 juillet en Amérique du Nord et le 14 août un peu partout ailleurs, de Once upon a time… in Hollywood, avant-dernier film annoncé d’une œuvre (il a encore confirmé récemment son souhait de la limiter à dix films, et en est donc à neuf en comptant les deux Kill Bill comme un seul titre), à laquelle il reste donc un créneau vacant, mais dont semble pourtant déjà venu le temps du bilan.
L'article
Que se dit Quentin Tarantino ces dernières semaines lorsque, une fois seul, et ruminant bien humainement, il se pose la question la plus universelle qui soit : est-il aimé ? C’est qu’elle n’a jamais été aussi épineuse depuis la sortie, le 26 juillet en Amérique du Nord et le 14 août un peu partout ailleurs, de Once upon a time… in Hollywood, avant-dernier film annoncé d’une œuvre (il a encore confirmé récemment son souhait de la limiter à dix films, et en est donc à neuf en comptant les deux Kill Bill comme un seul titre), à laquelle il reste donc un créneau vacant, mais dont semble pourtant déjà venu le temps du bilan.
L'article