Cette hausse des dépenses doit permettre de renouveler le parc automobile et le matériel informatique.
Bien sûr, cela reste une goutte d'eau dans la totalité du budget de l'État. Mais le symbole est fort. Alors que les ministères sont priés de se serrer la ceinture, l'Élysée va augmenter son budget de 600.000 euros en 2020, comme le relève Le Parisien ce mardi.
Le quotidien a consulté le projet de loi finances qui doit être adopté en décembre. Ce dernier indique que le budget de la «présidence de la République» doit passer de 103 millions d'euros en 2019 à 105,316 millions d'euros l'année prochaine.
Comment expliquer cette hausse de 2,316 millions alors que la tension sociale reste importante dans le pays, moins d'un an après le mouvement des «gilets jaunes» ? Du côté de la présidence, on certifie qu'il s'agit avant tout d'un mouvement de ligne budgétaire. «Jusqu'ici, une ligne de 1,7 million d'euros attribuée à la sécurité présidentielle était prise en charge par le ministère de l'Intérieur. Nous l'avons juste déplacée pour plus de cohérence », explique-t-on depuis l'Élysée au Parisien.
L'article
Bien sûr, cela reste une goutte d'eau dans la totalité du budget de l'État. Mais le symbole est fort. Alors que les ministères sont priés de se serrer la ceinture, l'Élysée va augmenter son budget de 600.000 euros en 2020, comme le relève Le Parisien ce mardi.
Le quotidien a consulté le projet de loi finances qui doit être adopté en décembre. Ce dernier indique que le budget de la «présidence de la République» doit passer de 103 millions d'euros en 2019 à 105,316 millions d'euros l'année prochaine.
Comment expliquer cette hausse de 2,316 millions alors que la tension sociale reste importante dans le pays, moins d'un an après le mouvement des «gilets jaunes» ? Du côté de la présidence, on certifie qu'il s'agit avant tout d'un mouvement de ligne budgétaire. «Jusqu'ici, une ligne de 1,7 million d'euros attribuée à la sécurité présidentielle était prise en charge par le ministère de l'Intérieur. Nous l'avons juste déplacée pour plus de cohérence », explique-t-on depuis l'Élysée au Parisien.
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