Plus de 1 000 personnes se sont rassemblées à Saint-Bonnet-Tronçais, dans l'Allier.
Ils veulent sauver les forêts publiques. Quelque 1 200 forestiers et simples citoyens se sont réunis jeudi 25 octobre à Saint-Bonnet-Tronçais (Allier) pour dénoncer la privatisation de l'Office national des fôrets (ONF) et l'"industrialisation croissante" des forêts publiques. La veille, plus de 200 marcheurs, partis mi-septembre de Mulhouse, Strasbourg, Valence et Perpignan, sont arrivés en fin de journée dans la commune voisine de Cérilly, dans le cadre de leurs "Marches pour la forêt".
A l'initiative de huit syndicats de l'ONF, ces marcheurs avaient rendez-vous dans la forêt de Tronçais, connue pour son emblématique futaie Colbert et ses chênes tricentenaires, "symboles d'une gestion durable de la forêt". "On conteste le principe de gestion forestière avec une vision purement économique et une gestion des ressources humaines déplorable. La forêt n'est pas une usine à bois", dénonce le représentant syndical SNUPFEN Solidaires Philippe Berger.
L'article
Ils veulent sauver les forêts publiques. Quelque 1 200 forestiers et simples citoyens se sont réunis jeudi 25 octobre à Saint-Bonnet-Tronçais (Allier) pour dénoncer la privatisation de l'Office national des fôrets (ONF) et l'"industrialisation croissante" des forêts publiques. La veille, plus de 200 marcheurs, partis mi-septembre de Mulhouse, Strasbourg, Valence et Perpignan, sont arrivés en fin de journée dans la commune voisine de Cérilly, dans le cadre de leurs "Marches pour la forêt".
A l'initiative de huit syndicats de l'ONF, ces marcheurs avaient rendez-vous dans la forêt de Tronçais, connue pour son emblématique futaie Colbert et ses chênes tricentenaires, "symboles d'une gestion durable de la forêt". "On conteste le principe de gestion forestière avec une vision purement économique et une gestion des ressources humaines déplorable. La forêt n'est pas une usine à bois", dénonce le représentant syndical SNUPFEN Solidaires Philippe Berger.
L'article