A l'occasion d'une deuxième réunion à haut niveau en six mois sur la chasse, Emmanuel Macron a donné son accord pour que le permis national passe de 400 à 200 euros.
Un cadeau pour lles chasseurs. Emmanuel Macron a accepté de diviser par deux le prix du permis national de chasse, passant ainsi de 400 à 200 euros, comme le réclamaient les chasseurs, a annoncé l'Elysée, lundi 27 août. Contrairement au permis départemental, le permis national permet de chasser sur tout le territoire. Il n'est possédé que par environ 10% des quelque 1,2 million de Français qui pratiquent la chasse chaque année. Cette mesure s'inscrit dans une plus vaste réforme de la chasse, qui préoccupe les défenseurs de l'environnement.
Ces derniers s'inquiètent de la façon dont sera mise en place la nouvelle gestion des espèces chassables. Actuellement, la liste de ces dernières, qui compte une soixantaine d'oiseaux et de mammifères, est figée. La nouvelle "gestion adaptative", dont le principe avait été retenu dans le plan biodiversité présenté en juillet par Nicolas Hulot, repose sur un renforcement de la collecte des données sur l'état de conservation des espèces et sur les prélèvements des chasseurs. Pour "éclairer" les décisions pour chaque espèce, un conseil scientifique doit être mis en place prochainement.
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Un cadeau pour lles chasseurs. Emmanuel Macron a accepté de diviser par deux le prix du permis national de chasse, passant ainsi de 400 à 200 euros, comme le réclamaient les chasseurs, a annoncé l'Elysée, lundi 27 août. Contrairement au permis départemental, le permis national permet de chasser sur tout le territoire. Il n'est possédé que par environ 10% des quelque 1,2 million de Français qui pratiquent la chasse chaque année. Cette mesure s'inscrit dans une plus vaste réforme de la chasse, qui préoccupe les défenseurs de l'environnement.
Ces derniers s'inquiètent de la façon dont sera mise en place la nouvelle gestion des espèces chassables. Actuellement, la liste de ces dernières, qui compte une soixantaine d'oiseaux et de mammifères, est figée. La nouvelle "gestion adaptative", dont le principe avait été retenu dans le plan biodiversité présenté en juillet par Nicolas Hulot, repose sur un renforcement de la collecte des données sur l'état de conservation des espèces et sur les prélèvements des chasseurs. Pour "éclairer" les décisions pour chaque espèce, un conseil scientifique doit être mis en place prochainement.
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