Les pays développés en particulier devront réduire de 90 % leur consommation de viande pour préserver la planète et nourrir les quelque 10 milliards d’humains attendus d’ici 2050...
Si le monde veut agir contre le réchauffement climatique, il faudra revoir ce qu'on met dans notre assiette. La consommation globale de viande devra être réduite drastiquement, montre une étude parue dans la revue Nature et consacrée à l’impact environnemental de ce que nous mangeons.
La production de viande, grande consommatrice d'eau
L’élevage en particulier a un fort impact, les animaux générant de fortes émissions de méthane, gaz à effet de serre moins persistant que le CO2 mais beaucoup plus réchauffant. Produire de la viande est aussi synonyme de consommation d’eau : pour produire 500 g de bœuf, il faut près de 7.000 litres d’eau.
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Si le monde veut agir contre le réchauffement climatique, il faudra revoir ce qu'on met dans notre assiette. La consommation globale de viande devra être réduite drastiquement, montre une étude parue dans la revue Nature et consacrée à l’impact environnemental de ce que nous mangeons.
La production de viande, grande consommatrice d'eau
L’élevage en particulier a un fort impact, les animaux générant de fortes émissions de méthane, gaz à effet de serre moins persistant que le CO2 mais beaucoup plus réchauffant. Produire de la viande est aussi synonyme de consommation d’eau : pour produire 500 g de bœuf, il faut près de 7.000 litres d’eau.
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