Dimanche soir, Donald Trump a laissé entendre qu’il ne s’opposerait pas à une invasion turque dans le nord de la Syrie. L’annonce a surpris le Pentagone et rendu furieux plusieurs républicains. Elle met en péril les combattants kurdes, alliés des États-Unis dans la lutte contre Daech.
La décision prise dimanche 6 octobre par Donald Trump de ne pas s’opposer à une invasion turque du nord de la Syrie est perçue par CNN comme “un revirement majeur de la politique étrangère américaine” et l’équivalent d’un “feu vert à la Turquie pour attaquer les forces kurdes soutenues par les États-Unis”. Pour le New York Times, “les termes de l’annonce ont donné l’impression que la Maison-Blanche soutenait l’attaque”.
Environ 1 000 soldats américains patrouillent dans la zone. Lundi, Washington a réfuté l’idée d’un retrait complet et parlé plutôt du redéploiement d’une centaine de membres des forces spéciales.
En laissant entendre qu’il ne s’opposerait pas à une invasion turque dans le nord de la Syrie, Trump a rendu furieux plusieurs républicains. L'annonce met en péril les combattants kurdes, alliés des États-Unis dans la lutte contre Daech.
L'article
La décision prise dimanche 6 octobre par Donald Trump de ne pas s’opposer à une invasion turque du nord de la Syrie est perçue par CNN comme “un revirement majeur de la politique étrangère américaine” et l’équivalent d’un “feu vert à la Turquie pour attaquer les forces kurdes soutenues par les États-Unis”. Pour le New York Times, “les termes de l’annonce ont donné l’impression que la Maison-Blanche soutenait l’attaque”.
Environ 1 000 soldats américains patrouillent dans la zone. Lundi, Washington a réfuté l’idée d’un retrait complet et parlé plutôt du redéploiement d’une centaine de membres des forces spéciales.
En laissant entendre qu’il ne s’opposerait pas à une invasion turque dans le nord de la Syrie, Trump a rendu furieux plusieurs républicains. L'annonce met en péril les combattants kurdes, alliés des États-Unis dans la lutte contre Daech.
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